NOUS ATTIRONS L'ENERGIE QUE NOUS FABRIQUONS




Une mécanique mieux contrôlée de notre potentiel énergétique, une orientation ouverte et saine du canal lié à notre sixième sens, nous permettrait de comprendre la racine, comme le but de chaque étape de notre vie, de chaque rencontre sur notre parcours.

Dans son best seller "La Prophétie des Andes", l’auteur James Redfield nous enseigne que l’unique solution de survie de l’humanité face au nouveau millénaire serait une démarche personnelle de reconnexion individuelle avec la nature Divine. Une transformation intérieure liée à une nouvelle perception du rôle de la spiritualité dans ses actions quotidiennes.

Selon le schéma proposé par l’auteur : l’homme ne peut redonner un sens à son existence que par le détachement instantané de ses habitudes de contrôle. Lavé de toute influence étrangère à son essence, il peut alors découvrir une vérité précise à laquelle il est intimement destiné.

La notion de détachement, de relativisation favorise l’ouverture du canal de l’intuition et permet d’augmenter le degré de confiance en soi. Cette mécanique positive de réflexion entraine une série d’interprétations et de compréhensions instinctives, qui déclenchent à leur tour une série de coïncidences et d’évènements plus ajustés à nos besoins (telle une énigme intérieure dont la solution se dévoile à mesure que nous remontons le fil de nos perceptions).

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Seven, 2010
Extrait des ::Chroniques de la Cyberculture::
Les années 2010 à 2018 sont symboliques d’une confirmation de l’état d’urgence dans lequel est plongé le monde : la conquête du savoir et des ressources a entrainé un appauvrissement général de ces mêmes ressources vitales. Par conséquent : de nombreux et violents conflits régionaux ont vu le jour, ainsi qu’une nouvelle organisation des grandes puissances de la planète.

Nous expérimentons une période unique faite d’accélérations des découvertes technologiques, des crises, et des changements climatiques.


2012 : Fin de la violence ou Fin violente ?


Tout porte à croire que cette période amorce une ère de conscientisation :

La conscience de l’homme dans son immortalité, mais aussi dans toute sa fragilité. Conscience du pouvoir.


Conscience de l’ampleur de la création, et de l’ampleur des destructions. Une conscience lucide de la balance, de la justesse, du temps, et des proportions.

Une Ere de lucidité, de réveil. L’éveil au libre arbitre, au choix. Un chemin à deux voies, et deux vitesses :


L’éveil ou la destruction.
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SEVEN, 2010
Extrait des ::Chroniques de la Cyberculture::
L'HOMME ESPRIT



La glande pinéale ou épiphyse est une petite glande endocrine de l'épithalamus du cerveau des vertébrés. Elle sécrète la mélatonine (dérivé de la sérotonine sécrétée elle par les tissus nerveux), et joue par son intermédiaire un rôle central dans la régulation du rythme biologique. Dans l'espèce humaine, l'épiphyse a la forme d'un petit cône (d'environ 8 mm) situé en position médiane en arrière du troisième ventricule, sous les colliculi supérieurs derrière la stria medullaris.

La glande pinéale fut la dernière des glandes endocrines dont la fonction fut identifiée. Cela explique sans doute les spéculations tant physiologiques que métaphysiques qui ont entouré son rôle supposé central dans la pensée du fait de sa position dans l'encéphale.

Connue depuis au moins l'époque de Galien (au Modèle:IIe siècle ap. J.-C.), la glande pinéale était baptisée kornarion (pignon de pin) en raison de sa forme semblable à la graine d'un conifère.

La plus célèbre de ces théories est sans doute celle du philosophe français René Descartes qui désigna la glande pinéale comme le « siège » de l'âme [5]. Pour justifier cette hypothèse, Descartes se basait sur le fait que la glande pinéale aurait été l'unique organe de la tête à n'être pas conjugué, c'est-à-dire ne se présentant pas sous une forme de paire d'organes symétriques situés de part et d'autre du plan sagittal. Par ailleurs outre sa position centrale, la glande pinéale se trouve juste au-dessus de l'aqueduc de Sylvius dont Descartes pensait qu'il guidait ce qu'il appelait les « esprits animaux » censés faire naître les sensations dans l'âme en frappant la glande pinéale. Aujourd'hui, les études histologiques ont montré que la glande pinéale est bien un organe conjugué mais les deux hémisphères qui la constituent sont presque fusionnés.

Dans la mythologie védique du Yoga, la glande pinéale est associée, tantôt au chakra Ajna ou 3e œil, tantôt au Sahasrara ou chakra de la couronne, situé au sommet du crâne. Dans la plupart des interprétations du Discordianisme la glande pinéale est supposée servir d'organe de communication avec la déesse Eris. La glande pinéale est parfois aussi appelée « le troisième œil atrophié ».

D'après Paul Foster Case, la glande pinéale est la « montagne » de la Bible où se fait la communication avec le Très Haut : Moïse reçoit les tables de la loi « sur la montagne », d'un point de vue ésotérique, cette montagne ne serait autre que le siège de la glande pinéale.

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